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La République Centrafricaine et son adoption du Bitcoin. Et si la RCA n’avait pas besoin de bitcoin?



Le 21 Avril 2022, le parlement de la République Centrafricaine a voté à l’unanimité, la loi régissant le principe et l’utilisation des crypto-monnaies en République Centrafricaine (La RCA). S’en est suivi un communiqué de presse de la Présidence, faisant du Bitcoin une monnaie ayant cours légal en République centrafricaine.


Passé l’effet de surprise, c’est avec un engouement et un enthousiasme pétillant que nous saluons cette excellente décision qui fait de la RCA le premier pays africain à adopter le Bitcoin. Et de fait le premier pays africain à déployer une politique forte faisant de l’inclusion financière une réalité pour les populations.

“La République centrafricaine n’est pas seulement le premier pays d’Afrique à adopter le Bitcoin comme monnaie de référence, mais aussi est le premier pays au monde à adopter à l’unanimité le projet de loi qui gouverne la cryptomonnaie”, déclare Obed Namsio, ministre d’État et directeur de cabinet de la Présidence.

Renchérissant, la présidence de la Centrafrique quant à elle estime que l’adoption du Bitcoin lui permettra de se placer “sur la carte des plus courageux et visionnaires pays au monde”.



Bien qu’ayant pour but premier la facilitation et la simplification des paiements, transactions, transferts d’argent à travers des écosystèmes décentralisés, cette volonté manifeste des dirigeants centrafricains va également permettre à la RCA de s’ arrimer facilement dans la 4ème révolution industrielle, dite numérique.

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Dans cet article, nous allons présenter certains axes de compréhension de l’univers de la Blockchain, mettre en evidence les opportunités d’une telle adoption. Puis, donner notre avis selon lequel: la RCA n’a pas besoin de “Bitcoin”. Parce qu’il n’est pas adapté pour tenir compte des réalités de l’économie du pays en particulier et du continent Africain en général. Et enfin, présenter la blockchain et l’instrument monétaire qui, selon nous, siéent et répondent le mieux aux problématiques économiques et sociétales du continent.


D’où vient la crypto-monnaie et son protocole sous-jacent la BlockChain?

La cryptomonnaie et la blockchain sont de la “Confiance Cristallisée” et elles viennent du besoin, des individus, de pouvoir à nouveau, se faire onfiance entre eux, sans devoir avoir recours à des tiers de confiance coûeux, qui ont pris en otage toute l’économie mondiale. Pour mieux comprendre cette technologie, nous allons nous appuyer sur le bitcoin, véritable première monnaie cryptographique d’envergure mondiale. Et sur l’essai que M. Idriss Aberkane à réaliser sur le sujet en Juin 2020.


Dans cet essai intitulé “Blockchain & Gilets-Jaunes: fusion Marx/Lincoln”, l’essayiste Idriss Aberkane présente la technologie blockchain comme une révolution des technologies de l’information et de la communication. Il la compare d’ailleurs aux révolutions populaires, à celle de 1848 en particulier, qui apporta déjà à cette époque de grands changements sociétaux.

Pareillement la blockchain, ces dernières années a lancé l’une des plus puissante révolution sociétale, qui conduit les peuples à aller à la conquête de ce qu’il a appelé “la dimension immatérielle du pouvoir Mondial” qui est “La Confiance”. La confiance est mise ici pour “le plus puissant moyen du pouvoir”. La Blockchain c’est donc la prise du pouvoir par le peuple sur “la confiance comme moyen de production” qui est par ailleurs l’industrie la plus lucrative de ces cinq dernières décennies.

Sauf que cette “Industrie” là, essentiellement basée sur la confiance donc et source de revenus stratosphériques, est contrôlée à 100% par les tiers de confiance à savoir: les Etats, les Banques (et leurs auxiliaires: les notaires par exemple) et plus récemment les GAFAM (Google, Amazone, Facebook, Microsoft). Ces derniers ont su capitaliser tous les outils technologiques indispensables à la production de la confiance cristalisée, pour qu’elle devienne un moyen de production à part entière.

La Confiance est un moyen de production”, martelait Idriss Aberkane dans cet essai.

Pour I. Aberkane donc: “La capacité à régler la façon dont les gens se font confiance, c’est la définition même du pouvoir suprême, encore appelé “l’Argent”. Le pouvoir monétaire étant le pouvoir suprême.

En effet, lorsque vous avez un Billet de banque d’une Valeur de 10.000Fcfa, le papier en lui-même ne vaut pas dix mille francsCfa, mais c’est le consensus entre ceux qui émettent la monnaie qui lui donne cette valeur. Et donc c’est la confiance accordée par les parties qui fait la valeur de ce billet

De fait: “La confiance d’une part, c’est donc un moyen de production, parce que “L’Argent c’est de la confiance et vice versa”; D’autre part, L’argent c’est de la confiance cristallisée; pour qu’une entreprise comme Google réussisse à en faire son pouvoir. Pouvoir qu’il a acquis en créant et en contrôlant complètement le nouvel outil technologique de cristallisation de la confiance.

Avec la révolution sociétale de la blockchain qui a cours cette dernière décennie, une extraordinaire opportunité est offerte aux populations, pour reconquérir le pouvoir de la confiance qu’elles avaient cédé aux tiers de confiances comme les GAFAM (Google AMAZONE, FACEBOOK MICROSOFT), les banques, les gouvernements. Et ceci parce que cette technologie est restée Open source: c’est à dire ouverte à tous et exploitable par tous, de n’importe où. Avec elle, l’on peut, à tout moment, authentifier avec une plus grande fiabilité, toutes informations et transactions qui y sont enregistrées. Ce qui rassure tous les utilisasteurs de cette technologie.

“Plus les peuples s’empareront de la confiance, plus ils seront puissants: parce que l’argent c’est de la confiance cristallisée. Plus les peuples s’empareront de la confiance, plus ils pourront par eux-mêmes créer de l’argent ” — dont la monnaie. I. Aberkane.

Le Bitcoin(comme technologie) est donc de la confiance cristallisée, créé à partir d’un protocole informatique révolutionnaire. que l’on appelle aussi : l’ ”Internet de l’Argent. Bien que ses concepteurs soient restés dans l’anonymat jusqu’à présent, la confiance réside en ceci qu’en toute transparence, le bitcoin est créée, échangée, au sein d’un réseau autogéré par les membres dudit réseau de personne à personne, sans besoin de tiers de confiance. Autrement dit, le Bitcoin peut vous appartenir au même titre que toutes les personnes l’utilisant au quotidien.

C’est la souveraineté monétaire personnelle et collective. En somme L’ARGENT DU PEUPLE.


Qu’est que ce que la crypto-monnaie ?


A cette question, R. Kiyosaki (L’Auteur du BestSeller “ Père Riche, Père Pauvre”) eu cette métaphore:

L’Or c’est l’argent de Dieu, Le Dollar l’argent de l’Etat, Le Bitcoin l’argent des gens open source!

Le bitcoin a des caractéristiques qui le rapproche nettement plus de l’OR que du Dollar.

La crypto-monnaie, fait donc référence aux jetons échangés au sein de la technologie blockchain. Ces jetons ont une valeur monétaire et peuvent être vendus, achetés, investis, placés et utilisés pour les paiements. Les crypto-monnaies diffèrent des autres monnaies en ceci qu’elles ne sont pas émises par un gouvernement, mais acquises au moyen de logiciels et de programmes informatiques (algorithmes).

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En adoptant la Loi donnant cours légal à la crypto-monnaie sur son territoire, l’Etat Centrafricain reconnaît et restitue le pouvoir de la création de la confiance au peuple. Il lui donne de fait, le pouvoir de la création de la monnaie d’une part, et d’autre part se positionne en garant de ce droit fondamental.


L’adoption de la loi sur la crypto-monnaie, une initiative louable.


Depuis quelques années, la RCA se remet sereinement d’une période d’insécurité et d’instabilité. Et se met en place, grâce à un effort conjugué de tous ses enfants, ses dirigeants et sous la houlette de son Président, M. F.A Touadéra , un climat d’affaires favorable. Il s’agit donc d’établir des leviers forts qui permettront de renforcer le tissu socio-économique, pour le bonheur des Centrafricains.


L’adoption de la loi sur la crypto-monnaie, participe de cet objectif. Elle pourra en effet permettre, par exemple, à la RCA de conserver 100% de sa réserve monétaire, favoriser la fluidité des échanges économiques avec ses différents partenaires et à moindre cout.


Comme les autres 14 pays de la Zone Fcfa d’Afrique, la RCA est obligé de “conserver en permanence 50 % de ces réserves auprès du Trésor français. […]” sans avoir le droit de participer à la gestion de ces fonds. Ces Etats Africains sont ainsi dépourvus d’une bonne partie de fonds qui sans nul doute leur permettraient de financer leur développment.


Ce qui fait de l’économie de ces pays, une économie comme enclavée, dans un camp de concentration monétaire, duquel la France reste l’éternel intermédiaire, pour toutes les transactions financières extérieures, pour ne parler que de cela.

Ce que la blockchain apporte c’est donc la désintermédiation, la suppression de la contrefaçon, la traçabilité des transactions. Elle permettrait d’enlever les intermédiaires inutiles de change. En plus, cela leur ouvre la porte à conserver par eux-même plus de devises étrangères et assurer ainsi la fluidité des échanges économiques avec ces différents partenaires et à moindre coût.

Notre question

Le bitcoin (première lettre “b” en minuscule), mis pour la cryptomonnaie et le Bitcoin (première lettre “b” en majuscule), renvoie à la Blockchain technologie qui sous-tend le bitcoin-crypto-monnaie. Ce qui fait que la Blockchain et la crypto-monnaie sont donc interreliées.

Si la crypto-monnaie est utilisée pour les opérations financières, la blockchain elle, peut déployer une myriades de cas d’utlisations qui touchent aussi bien aux activités du secteur privé, qu’à la gestion gouvernemental.

Alors il est légitime de se poser la question de savoir, si La RCA a bel et bien choisi d’octroyer un cours legal aux crypto-monnaies en général et au “bitcoin” en particulier; le gouvernement voudra t-il par ricochet accepter l’usage de la blockchain, comme outil de la digitalisation de la gouvernance au sein de son administration?

Parce qu’au vue des points négatifs rélevés par l’opinion public nationale, qui sont un obstacle à l’accessibilité aux crypto-monnaies par toutes franges de la population, il est vraiment primordial que l’administration Centrafricaine, fasse usages des autres cas d’utilisation blockchain pour créer d’heureuse manière un ecosystème d’inclusion social national; toute chose que la blockchain “Bitcoin” ne saurait apporter.

L’Africain n’a pas besoin de loi d’adoption des crypto-monnaies pour les utiliser.

Lorsque nous regardons la loi Centrafricaine qui donne cours légale aux crypto-monnaies comme monnaies que « Tout Agent économique est tenu d’accepter comme forme de paiement lorsqu’elles sont proposées pour l’achat d’un bien ou d’un service »;

Il est clair qu’elle n’est pas faite pour engendrer ou générer de facto les transactions en cryptos, puisque les opérateurs économiques sont libres de les proposer ou non, comme moyen de paiement.

Sans doute que, quelques Centrafricains utilisaient déjà bitcoin, du fait de la situation économique et financière nationale. Mais à une minuscule échelle, en comparaison à la quantité de transactions au Nigeria, dont l’activité financière et économique en crypto-monnaie n’est pas à démontrer.

Cette loi viendrait plutôt rassurer les partenaires du secteur privé notamment, qui sont sceptiques face à l’expansion de la technologie Blockchain et des crypto-monnaies. Pour ce faire, elle leur offre des garanties Étatiques qui pourraient institutionnaliser la confiance dans les échanges en crypto-monnaies entre acteurs sociaux-économiques.

De fait, institutionnaliser la confiance dans les échanges au sein du réseau “Bitcoin”, en s’appuyant sur l’État, c’est justement à aller à l’encontre de la philosophie originale de la technologie blockchain. Qui instituait dans son code que les échanges sont assez sécurisés, authentifiables et transparents en pair-à-pair, pour qu’il soit nécessaire d’avoir l’aval/protection/garantie d’une institution de tiers de confiance (banques , banques centrales, Etat) pour y avoir recours. Le Code, les Contrats Intelligents seuls suffisent.

Il se dit que le “Code est la Loi”. Donc il n’y a pas de besoin d’avoir une couche supplémentaire de Lois, sur le principe tout du moins.

L’ Afrique n’a pas besoin de Bitcoin

Que ce soit donc, le bitcoin (Première lettre “b” en minuscule), mis pour la cryptomonnaie; ou le Bitcoin (première lettre “b” en majuscule), renvoyant à la Blockchain technologie qui sous-tend le bitcoin(cryptomonnaie), ni l’une ni l’autre n’est adaptée pour tenir compte des réalités socio-économique de l’Afrique.

Le bitcoin(Cryptomonnaie) est de fait un excellent moyen de protéger l’épargne des ménages- la trésorerie des entreprises, de la dévaluation et des tous les autres risques financiers associés au Fcfa en l’occurrence. «Le bitcoin est auditable, transparent et vérifiable, et son offre est limitée. L’offre de dollars au cours des deux dernières années a explosé, presque doublé et c’est ce que vous avez vu se refléter dans le prix des actifs partout. Le bitcoin est donc un excellent moyen de protéger vos économies, et il est contrôlable et transparent, ce que le dollar américain ne peut pas être. Ainsi, n’importe qui peut vérifier son solde en ce moment même et voir en temps réel le statut de l’ensemble du réseau Bitcoin. Vous ne pouvez pas faire cela avec le dollar américain ou toute autre monnaie», a récemment affirmé Mauricio Di Bartolomeo sur FoxNews.

S’il est effiace pour faciliter les transactions locales et internationales; sa volatilité, est un inconvenient à une utilisation épanouîe, comme unité de compte à utiliser par exemple comme étalon de fixation des prix. Définitivement il n’est pas à utiliser de la sorte.


En plus, dans le contexte africain, il faut encore ajouter des freins d’ordre infrastructurels avec un taux de pénétration d’internet, des smarphones — ordinateurs, moyen voir faible. La méconnaissance de la philosophie des cryptomonnaies, des principes de leur utilisation. Mais aussi de l’accessibilités aux plateformes d’achat, de vente , d’échange et des gestions des opérations.


Pire, il peut même mettre en péril les économies africaines. Comme vous pourrez le lire dans cet article, qui donne la situation actuelle du SALVADOR, le premier pays à avoir aussi donner cours légal au “bitcoin”, dont l’economie est suspendue au cours mondial du bitcoin, qui en ce moment est en baisse.


Et pour ce qui est de la tecchnologie en elle-même, l’Afrique n’a pas besoin de Bitcoin, parce qu’elle n’apporte aucune solution aux autres problèmes qui entravent le développement du continent. L’Afrique à besoin d’une blockchain, certes, mais aussi de tout un écosystème de nouvelle génération, qui mettent vraiment les gens au coeur de tout, et qui leur redonne une place de sorte à les inclure tous, sans aucune discrimination, dans le respect de l’environnement.


L’Afrique a besoin de la BIVEXCHAIN, une blockchain de nouvelle génération et de son écosystème, propulsés par les africains- par SUREBANQA.


En son état actuel, nous le disions plus haut déjà la blockchain du Bitcoin, n’est pas adaptée pour l’Afrique. SUREBANQA Strat-up TechFin Africaine, experte Blockchain, a établit dans le livre blanc de son ecosystème axé sur BIVEXCHAIN(une blockchain de nouvelle génération) que, pour qu’une blockchaine ait un impact réel et devienne courante et dominante en Afrique, elle doit être accessible et significative, non seulement pour les informaticiens, les professionnels de la Tech en général, mais aussi pour toutes les autres franges de la population; surtout celles qui sont restées exclues de l’état-civil, du système financier et de l’économie nationale et internationale.


Or la blockchain Bitcoin ne résoud aucun des problèmes sociétaux qui sont eux-même sont un frein à l’adoption de cette technologie. Ce sont principalement : L’exclusion financière des personnes à la base, qui a entraînée les inégalités socio-économiques, le chômage et la pauvreté; L’exclusion des systèmes d’identification d’état-civil; l’inexistence de système d’adressage, pour ne citer que ceux là.


En utilisant le BIVEXCHAIN qui est un “bitcoin fork”(c’est-à-dire qui est une copie du code de la blockchain Bitcoin à laquelle SUREBANQA (nous) a apporté des modifications significatives, qui dans notre cas ont conduit à créer une nouvelle blockchain); et les fonctionnalités qu’elle offre avec l’inclusion du transfert d’argent de pair-à-pair, nous pouvons rendre l’inclusion financière aussi facile que possible.


Et de fait conduire et activer cette BlockChain de Nouvelle génération, qui crée des emplois et de la richesse pour et avec tous, tout en étant accessible aux populations de base; est indispensble pour autonomiser les ménages et ouvrir des opportunités nouvelles.


En allant plus loin la BIVEXCHAIN s’exprimera au sein d’un écosystème populaire réellement décentralisé, qui intègrera les prêts en pair-à-pair, le marketplace, la BlockChain en tant que service pour les organisations-entreprises-États; la gestion des identités de l’état-civil et de l’adressage. Mais aussi des POS, des guichets automatiques et des banques décentralisées qui prendront en compte la pénétration des exclus et mal désservis du système financier actuel.


Pour qu’il soit possible de bancariser gratuitement les exlus du système financier actuel; pour que les gens puisse posséder leurs information, avoir à disposition leur historique bancaire pour avoir recours à un prêt partout dans le monde par exemple. Ou encore offrir une identité protégée, couplée à un token qui prendrait de la valeur à mésure l’on évoluerait dans la vie.


La BIVEXCHAIN (entendez par là: Blockchain Internet Value Exchange), Blockchain de Nouvelle Génération, est donc un fork retrocompatible du Bitcoin prenant en charge le multichain, side/on/off side, avec ajout de plusieurs couches. Elle a été Conçue pour offrir des fonctionalités inédites et un débit pouvant atteindre 1 milliard de transactions par seconde largement supérieur au Bitcoin et à Ethereum.


Elle se destine en plus de ce qui précède à prendre en charge les transactions en FIAT et en Crypto-monnaies, en local et à l’international. Avec des telles caractéristiques, il sera aisé de conduire une adoption des échanges à travers son ecosystème multidimensionnelle qui est déjà opérationnel au sein d’une gamme de SuperApplications dont le réseau social #JIFFYSOCIAL.

Notre ancien livre blanc que voici vous montera où nous avons commencé il y a trois ans déjà. Puis en visitant nos plateformes vous verrez que nous avons réalisé bien plus que prévu.

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Les enjeux et défis de l’adoption de la blockchain en Afrique.

En Afrique les principaux enjeux en plus de ceux qui ont traits à la société, sont ceux qui concernent l’unificaion monetaire panafricaine et la digitalisation de la gouvernance.

Unification monétaire panafricaine le vrai defi de l’Afrique.

Le vrai défi de l’Afrique à cette heure, réside au niveau de la mise en oeuvre de vraies zones de libre-échange monétaire décentralisées. Déjà entre les différents Fcfa, puis entre les autres monnaies d’Afrique. En Afrique, il est courant par exemple de voir des gens être obligés de changer le Fcfa en USD d’abord, pour pouvoir ensuite les échanger à nouveau en Cedis une fois rendu sur le sol Ghanéen. Ce qui est absurde!

Le bitcoin serait incapable d’apporter une solution efficiente à ce problème. Mais le bitcoin n’était qu’un premice — la blockchain peut offrir une proposition d’instrument monétaire qui apporte une solution à ce défi tout en étant accessible à tous.

Avec sa blockchain BIVEXCHAIN- SUREBANQA est la première entreprise au monde à développer une monnaie intelligente, programmable et de stockage de valeur en boucle fermée: le “55X, et ses variantes JIFFYCASH -QIKKASH,”.


Ceux sont des cas d’utilisation réel de la monnaie intelligente sur la blockchain. 55X Unified African Smart Currency est notre innovation monétaire, qui va faire le pont entre le passé, le présent et le futur de la monnaie. Il garde les caractéristiques de la monnaie classique car il et imprimale; puis de la crypto-monnaie car il est digital et s’echange dans les mêmes canaux que la crypto-monnaies et plus encore. (Voir notre livre blanc).


Dans cette article, on présente la solution qui peut offrir un écosystème de libre échange où les monnaies africaines entre elles peuvent s’échanger directement en temps réel.

L’indexation à 1:1 de “55X” permettra de dépenser votre monnaie partout comme en local et renforcer le commerce transfrontalier en Afrique et au-delà.

Son interopérabilité avec la Monnaie Numérique de la Banque Centrale (MNBC) changera la donne. Imaginez dépenser des Fcfa au Ghana en temps réel comme si c’était du Cedis sans avoir recours à du change intermédiaire.

En termes simples, cela améliorera le commerce transfrontalier/sans frontières, les paiements et les envois de fonds. Cela marquera le début de la fin pour les BDC (Bureau de Change), le Forex et les frais d’interchange.

SUREBANQA dispose déjà d’une preuve de concept et de valeur (POC) utilisant son épine dorsale programmable et illustrée dans son “55X”- lui aussi déjà intégré dans nos gammes de superApplications disruptives et évolutive telles #QIKQIK.

La digitalisation de la gouvernance

La RCA ne doit pas manquer le virage de la transformation numérique ni les vrais enjeux que conduisent ladite 4e révolution industrielle.

Bien que ce soit une étape importante en, ceci que la Centrafrique ait adopté l’utilisation d’une monnaie digitale, il faudrait étendre la portée de cette initiative à la digitalisation de gouvernance.

Faut dire que, comme le montre Le Rapport sur la gouvernance en Afrique 2021. “L’avenir de la gouvernance en Afrique pour l’Afrique que nous voulons”, la gouvernance digitale est relativement limitée en Afrique. La plupart des réalisations résidant essentiellement en des bases de données d’informations mises à la disposition du public.


Il n’existe pas vraiment d’actes administratifs entièrement en ligne; l’e-Gov se réduisant à numériser l’existant, entraînant inévitablement une reproduction, voire une amplification des problèmes préexistants : de la « paperasserie aux chiffres » !

Le potentiel du téléphone mobile, l’objet numérique le plus accessible au monde (et dont le taux de pénétration en RCA est en croissance) est inexploité.

Pour illustrer les limites et autres écueils des initiatives d’e-gouvernement, considérons que chacun des 33 autres ministères du gouvernement de la RCA numérise ses procédures et services offerts au public. A terme, un même citoyen centrafricain se retrouvera avec au moins 34 comptes utilisateurs différents et pourra donc, au cours d’une même journée, devoir se connecter au moins 34 fois pour interagir avec l’administration de son pays.

Au-delà de la non-utilisation de la quantité de données auxquelles chacun des Ministères/organismes aura accès puisque “chacun évoluant en silos”, données personnelles éparpillées des utilisateurs qui se trouvent plus vulnérables aux cyberattaques, ces exigences d’authentification distinctes et créeront un expérience numérique décousue, lourde et stressante pour les citoyens.

C’est pourquoi la RCA ne doit pas manquer ce virage inexorablement vital dans sa transformation numérique, vers sa modernisation, aussi appelée la quatrième révolution industrielle et définie comme la numérisation des données. La numérisation fait référence au processus d’intégration complète des technologies numériques et la digitalisation de la gouvernance, dans tous les aspects de la société humaine.

C’est le processus de transformation d’une organisation, qui évolue pour adapter son fonctionnement, son offre, aux nouveaux usages (de vie et d’interaction, de travail, de consommation), aux défis du 21ème siècle, dans un environnement en mutation (avec une économie numérique tournant à plein régime portée par les géants américains du numérique : GAFAM et chinois : BATH), un monde en ébullition, où les enjeux sont de plus en plus complexes, mouvants et incertains.

Mieux, selon le cabinet Deloitte le Covid-19 accélère la prochaine génération de digitalisation des gouvernements. Dans son article, « Accelerating Digital Government », issu de son rapport Global Government Trends 2021, la société offre des informations clés sur la manière dont certains gouvernements du monde entier ont accéléré leur parcours numérique pour répondre aux besoins de la pandémie.


En effet, lorsque la pandémie mondiale a frappé, tout a changé. Le numérique n’était plus seulement une « option souhaitable » pour les gouvernements, les entreprises et les particuliers: il devenait un impératif. Plus encore, perçue à ses débuts comme un risque de destruction de valeur, la transformation numérique est aujourd’hui considérée comme un levier de compétitivité, source potentielle de création d’emplois. Certains analystes estiment même que le numérique doit être lié à sa contribution à la paix et à la sécurité en Afrique.


Quels peuvent être les bénéfices de loi pour les populations si les autorités intègre l’écosystème de la Blockchain BIVEXCHAIN?


Participer réellement au procéssus de création de la monnaie, des richesses, peut apporter un vrai changement dans la vies des citoyens. Créer des emplois, offrir des nouvelles niches de rémunérations, non taxées, aux emplois existants, et bien plus encore.

L’adoption de cette loi, est une opportunité Inédite d’autodétermination des populations que s’offre La RCA, si elle veut bien adopter un ecosystème axé blockchain comme celui de SUREBANQA et BIVEXCHAIN.

Parce qu’en plus de créer un système monétaire décentralisé et indépendant des banques centrales, pour des transactions plus rapides, elle offre la possibilité aux populations de bénéficier d’un écosystème de commerce social et de gouvernance inclusif, pour la création mutuelle des richesses.

Comme nous le disions plus haut, “dans la blockchain ou la technologie de chaînes de blocs, Les blocks ce sont des ordinateurs connectés en réseau, également appelés nœuds. Ramenons cela à la sphère sociale, un bloc ou nœud correspondra à chaque individu, association, école, entreprise, Commune, Région, Ministère — toutes les composantes de la société prise dans leur singularité. Chacun devenant un maillon indispenable de création, d’authentification, de vérification, de stockage de l’information.”

Voilà, les éléments de base de la création d’une puissante industrie de la confiance, qui va rémunérer, non pas les grosses entreprises “Tiers de confiance”, mais bien les individus eux-même qui participent à l’écosystème au réseau.

Dans un précédent article nous établissions que Les pays mettant en œuvre l’identité numérique, par exemple, pourraient débloquer une valeur équivalente à 3 à 13% du PIB d’ici 2030


De fait BIVEXCHAIN rend possible la création de plus de richesses, à partir notamment des activités quotidiennes de chacun. Cela peut vouloir dire que puisque le gouvernement compte sur sa population pour créer la monnaie, il peut tout aussi bien s’appuyer sur sa population pour gérer l’Etat civil c’est-à-dire Création, authentification, stockage, distribution. Et ce travail passif pour les uns, générera de revenus à chacun selon son apport.

A dieu les pertes d’informations, la nécéssité de faire des copies certifiées conformes; A dieu les notions de validité temporelle de cartes d’identité, une fois émises sur la blockchain elles sont infalsifiables et interdistribuées avec des clés de protections pour en empêcher le vol ou l’usage indélicat.

Et la bonne nouvelle c’est qu’être un Noeud, dans l’écosystème SUREBANQA, c’est aussi simple que d’acheter une puce de téléphone ou de créer un profil sur un réseau social et ça rapporte aussi de l’argent! Cela signifie “UN REVENU UNIVERSEL POUR TOUS” garanti par l’Etat! Visiter notre livre blanc pour en avoir les détails: ICI.


La RCA nouvelle plaque tournante africaine du déploiement de la quatrième révolution Industrielle dit le web3.0.


Ce qu’il faut savoir c’est que le plus grand nombre de transactions en crypto-monnaie au monde est localisé en Afrique, au Nigéria plus précisément. En effet 42 % des Nigérians interrogés en ligne ont déclaré qu’ils possédaient ou avaient déjà utilisé des cryptomonnaies en 2021, soit le taux le plus élevé des 56 pays couverts par l’enquête du Global Consumer Survey en 2021


Mais en Afrique aucun de ces pays n’avait légiférer pour octroyer un cours légal sur leur térritoir. Alors vous pouvez comprendre la surprise de l’annoce de la RCA d’accorder au bitcoin un cours légal sur son térritoire alors qu’elle ne réalise pas déjà de grands volume de transaction. Pire une grande partie de sa population ne savait même rien de bitcoin avant la promulgation de la loi.

Cependant, alors que les détracteurs locaux et internationaux s’en donnaient à coeur joie pour, qui, dénoncer, un copie-coller et la loi du Salvador, qui, des approximations et bégaiements juridiques, le court-circuitage de l’architecture légale, financière et institutionnelle;

Pour des start-up africaines comme SUREBANQA, nous trouvons ceci comme un formidable cas d’étude qui va définitevement placée l’Afrique au devant de la propulsion du Web3.0. Chose rendue possible, à la fois par cette loi au niveau réglementaire, que par des innovations, brevetées et reconnues que les africains portent fièrement dans le domaine.

Notre stratup SUREBANQA, est une TechFin Africaine de Nouvelle Génération, qui développe et déploie sur mesure des Applications / Plateformes / Logiciels / Blockchain / Token / Bank-as-a-Service, Marketplace-as-a-Service.

Avec ses stacks de technologies innovantes qui combinent blockchain et d’autres technologies émergentes (Internet des Objets : IoT, Internet de l’Argent : IoM, Intelligence Artificielle : AI-machine learning, deep learning, AR/V : Augmented/Virtual Reality, analytics data, chatbots, etc.), a pris cette nouvelle avec un engouement pétillant.

Parce que nous s’y avons vu une grande avancée et opportunité multidimensionnelle. Par exemple une opportunité de montrer au monde qu’effectivement l’Afrique pourra déployer les trésors d’innovations locales ou continentales déjà opérationnelles pour conduire l’adoption massive, non pas du bitcoin, mais d’instrument monétaire axé la blockchain qui sied le mieux à ses réalités, la BIVEXCHAIN, dans un écosystème réellement décentralisé propulsé au sein de SuperApplications bancaires, Financière, de commerce social et de communication.

L’ adoption facilitée de la Blockchain grâce à l’écosystème SUREBANQA et quelques innnovations Africaines.

Nous le disions plus haut plusieurs réserves à l’adoption du bitcoin ont été émises par certains députés de l’opposition, les populations, les entreprises, les institutions bancaires pour ne ce citer que ceux là. Réserves que nous soutenons d’ailleurs en grande partie parce que nous le martelons depuis le bitcoin ne sied pas au contexte africain.

Nous avons pris quelques unes de ces réserves, auxquelles nous pensons pour voir apporter une réponse grâce à nos travaux avec BIVEXCHAIN.

Les réserves :

  • Comment la RCA peut garantir l’accessibilité du bitcoin à tous sachant que le pays n’a pas une bonne couverture internet? Il y a encore quelque années, nous aurions convenus de ceci que le bitcoin ne s’utilise qu’avec internet. Mais aujourd’hui ce n’est plus le Cas. En créant un “Bitcoin-fork” doté d’un SDR en HyperZen, dans l’écosystème BIVEXCHAIN, les crypto-monnaies ne s’échangent plus uniquement depuis internet. (Voir notre livre blanc). Sur BIVEXCHAIN, depuis deux ans déjà nous avons rendu possible les transactions en crypto-monnaies par radiofréquence.

  • Les échanges bitcoins ont besoin de smartphones, combien de personnes peuvent s’en procurer? Il y a quelques années, les ordinateurs étaient les seuls outils assez adéquats pour ces transactions, puis cela a été étendu aux smartphones, parce qu’ils peuvent se connecter à internet et sont dotés de composants de plus en plus robustes pour faciliter les échanges. Aujour’hui puisque notre stratup à rendu les transactions possible par radiofréquences, même avec un téléphone qui n’a pas accès à une connexion internet, vous pouvez faire et recevoir vos transactions. Allons plus loin. Dorénavant avec le #QIKKASH (nom commercial de notre invention le “55X”) Même sans téléphone du tout, vous pouvez faire vos transactions en crypto-monnaies en toute simplicité et facilité sans file d‘attente en ayant recours à aux Noeuds appelés “QTeller”.

  • Les bitcoins se crée par minage, est-ce que la RCA à un réseau électrique suffisant pour supporter cette activité à grande échelle? Peut-être en effet la RCA n’a pas fourniture éléctrique suffisante pour supporter les opérations de minage à grande échelle. Mais l’Afrique dispose de technologie pour pallier à cette insuffisance. En effet en devenant un pôle technologique, une plaque tournant de la révolution numérique africaine, avec les bonnes politiques ce pays saura attirer les inventeurs pour apporter des solutions concrètes.

Notamment une innovation venant du Zimbabwé est très intéressante pour pallier au problème d’énergie electrique. Celle de M. Maxwell Chikumbutso, une technologie d’énergie verte qui, selon lui, est révolutionnaire car elle convertit directement les fréquences radio en énergie propre et renouvelable. Avec cette innovation des ordinateurs, des tablettes, des smartphones qui n’ont pas besoin d’être branchés peuvent être fabriqués et apportés une vraie solution.


Sans oublier bien-sûr les différents chantiers que le gouvernement met en place pour se doter d’une meilleure connectivité internet grâce au partenaire avec le Cameroun pour la fibre optique.

L’Expertise BlockChain Africaine. La Start-up SUREBANQA

Avec une blockchain #BIVEXCHAIN, SUREBANQA à développé des plateformes décentralisées de paiement, Une plateforme décentralisée exchange de devises et cryptomonnaies, un Réseau social, deux néobanques décentralisées; ce sera un honneur d’accompagner dans la conduite de cette transformation numérique du gouvernement Centrafricain.


De l’accompagnement à la révision du cadre réglementaire (domaine dans lequel nous avons déjà fait ses preuves auprès du gouvernement de l’Etat du Wyoming aux USA); à la conception et la mise en place d’une Blockchain privée et hybride pour le gouvernement de la RCA, nous nous tenons prêts.

Et comme premier projet pour assurer la pleine participation des citoyens, l’un des enjeux de la numérisation, nous proposons de s’attaquer à la question de l’adressage numérique de l’ensemble du territoire de la République centrafricaine, et qui à son tour permettra de sécuriser l’identification/l’état civil, le cadastre/le terrain, etc.


Il n’existe pas de modèle universel de transformation numérique. Or, pour réussir une transformation numérique, il est essentiel d’impliquer les gens dès le départ (quand on implique tout le monde dès le départ, disait D. Caron, il n’y a pas de résistance). Au-delà d’impliquer et de faire travailler ensemble toutes les administrations et leurs personnels, les citoyens sont aussi une pièce maîtresse du puzzle à inclure.

Et pour ce faire, d’une part le citoyen doit être joignable, il doit avoir une adresse physique et numérique quelle que soit sa localité. C’est d’autant plus essentiel pour la RCA qui sort de décennies de troubles qui ont provoqué le déplacement de sa population. L’adressage est donc l’échelle de base de l’élaboration de la citoyenneté, une première condition pour que les processus civiques soient.

D’autre part il faut que chaque citoyen trouve son intérêt à participer, en ayant la Possibilité de devenir un Noeud. Souvenez vous lorsque nous parlion des bénéfices auxquels les populations peuvent aspirer.

Nous disions que la Blockchain, ou technologie des chaînes de blocs, ramenée à la sphère sociale, un bloc ou noeud correspondra à chaque individu, association, école, entreprise, Commune, Région, Ministère — toutes les composantes de la société. Chacun devenant un maillon indispenable de création, d’authentification, de vérification, de stockage de l’information.

Cela peut vouloir dire que puisque si le gouvernement compte sur sa population pour créer la monnaie, il peut tout aussi bien s’appuyer sur sa population pour gérer l’Etat civil c’est-à-dire Création, authentification, stockage, distribution.

Et la bonne nouvelle c’est qu’être un Noeud, c’est aussi simple que d’acheter une puce de téléphone ou de créer un profil sur un réseau social et ça rapporte aussi de l’argent! Cela signifie “UN REVENU UNIVERSEL POUR TOUS” garanti par l’Etat!

Les Différents Noeuds

Plusieurs types de noeuds peuvent être proposés. Ils peuvent être déployés quasiment gratuitement si les bonnes politiques sont implémentées.

Chacun peut déjà créer un Noeud Primaire depuis le Réseau social axé blockchain #JiffySocial; qui lui servivra de base pour enregistrer, authentifier et gérer son identité et son empreinte numérique sur le web.


JIFFYSOCIAL

Et depuis votre profil JIFFYSOCIAL il vous sera possible d’ouvrir un bancaire auprès de nos néobanques. Visitez ici le portail de WEALTHEREUM BANK

Les Noeuds Business

I- Un Noeud peut vous aider à accepter des paiement en FIAT et en Cryptomonnaie sur votre site internet, dans votre showroom, dans votre supermarché. Nous avons déployer l‘agrégateur de rails paiement #QIKQIK .


En Moins de 24H, l’API de #QIKQIK peut être déployé sur votre site internet.

Vous devenez ainsi un QNode MARCHAND.


Devenir QNode Marchand de QIKQIK — Propulsé par SUREBANQA

II- Noeud Transfert d’Argent

Ce sont des noeuds qui serviront de point d’entré et de sorti pour les transactions en Fiat et en crypto-monnaies en utilisant un seul ecosystème blockchain.


Les QTellers Que ce soient des personnes physiques ou morales, des supermarchés, des entreprises, ils peuvent tous ouvrir un noeud QTeller.

Ils ont des services - d’aide les clients à ouvrir de nouveaux comptes, - d’émission et fourniture des cartes Visa/Mastercard/UnionPay aux clients, - d’émission et fournitures des #QIKKASH aux clients ne disposant pas de téléphones, et bien plus.


Les Cartes De Débit QIKQIK, sont des carte bancaires intélligentes, qui offrent la possibilité de dépenser les sommes que vous disposez dans vos différents wallets et compte bancaire: que ces fonds soient des cryptomonnaies ou du FIAT.


Ce qui facilite encore plus la vie des consommateurs pour faire des transactions en local et en international.

Voilà qui devient Intéressant!


Nous remercions pour votre lecture attentive.

Si cet article vous plus laissez un like et n’hésitez pas à nous laisser vos questions, remarques en commentaires si vous en avez.

Merci.


Claire LIBAM SUREBANQA

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