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Crise au Niger : la France se prépare à envahir le pays



Refusant d’accepter la fin de sa domination sur le Niger, la France a finalement décidé avec l’aide de certains dirigeants de mettre à feu et à sang le Niger dans le seul but de sauvegarder son mieux vivre au détriment des populations du Niger. Selon des sources bien introduites, la France compte procéder à un bombardement massif de toutes les positions des FDS nigériens pour semer le chaos total dans la capitale et les alentours sans se soucier des populations civiles.


Le Gouvernement du Niger accuse la France d'ingérence et de tentative de Maintien Militaire Illégitime. Dans une déclaration diplomatique sans précédent, le gouvernement nigérien a officiellement déclaré la France « non grata » sur son territoire, accusant Paris de chercher à maintenir une influence néocoloniale par le biais de méthodes diplomatiques discutables et potentiellement militaires. Cette annonce marque une escalade dramatique des tensions entre les deux pays et soulève des inquiétudes quant à l'avenir de leurs relations bilatérales.


Les accusations proviennent principalement du général Tchiani, figure de proue du Niger et critique vocal des ingérences étrangères dans les affaires nationales. Le général a insisté sur le fait que la France aurait tenté de s'immiscer dans la souveraineté du Niger, en utilisant des organes sous-régionaux (CEDEAO) pour promouvoir ses intérêts économiques et politiques.


Lors d'une conférence de presse, le ministre nigérien des Affaires Étrangères a déclaré : « Nous avons longtemps valorisé notre relation avec la France en tant que partenaire équitable. Cependant, les actions récentes de la France remettent en question ces relations. Nous ne pouvons pas ignorer les signes d'une volonté persistante de maintenir une influence indue sur notre territoire, que ce soit par des moyens économiques, politiques ou, potentiellement, militaires ».


La déclaration nigérienne a également suscité des préoccupations parmi les partenaires régionaux et internationaux. La Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a appelé à la retenue et a exprimé son espoir que les deux pays puissent résoudre leurs différends de manière pacifique et constructive.


La France, de son côté, a réagi avec surprise à la déclaration nigérienne. Dans un communiqué, le ministère français des Affaires Étrangères a déclaré que la France n'avait aucune intention de violer la souveraineté du Niger et qu'elle cherchait plutôt à renforcer les relations économiques et politiques entre les deux nations.


D’après les mêmes sources, depuis quelques jours l’ensemble des ressortissants français est en train d’être regroupé au niveau de leur représentation diplomatique et ce pour 3 jours à compter de ce vendredi 25 Août 2023, sur une base militaire à la frontière avec la Libye, précisément à Touma, la France a rassemblé des avions de combat et toute la logistique (l’Algérie s’étant opposé catégoriquement au survol de son territoire par les avions français). D’autres vecteurs de combats sont également placés au Bénin (Kandi et Alfa Kouara), en Côte d’Ivoire et au Sénégal.


Les troupes de la CEDEAO qui doivent participer à l’agression du Niger sont en train d’être amassées au Nigeria et au Bénin avec comme base principale le Camp de Kandi. Sachant que la France a des bases militaires au Gabon et au Tchad qui sont des territoires non loin du Niger et quasiment sous le control de l'Elysée, nous sommes là face à une dure épreuve contre la solidarité africaine qui laisserait bien voir qui est le véritable « ennemi » de l'Afrique.


Cependant, les observateurs internationaux craignent que la situation puisse évoluer vers une impasse diplomatique, voire une confrontation plus sérieuse, si les tensions ne sont pas rapidement apaisées. Les prochaines étapes des relations entre le Niger et la France restent incertaines, mais il est clair que cette déclaration marque un tournant dans leur partenariat historique.

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