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Sanctions : Constant Omari dans le viseur de la FIFA



Alors que les différents états-majors préparent le clash de la présidence de la Confédération Africaine de Football (CAF), la chute du président par intérim, Constant Omari, ne serait plus qu'une question de temps. La Commission d’éthique indépendante de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA), dans une enquête en cours aurait déjà mis en lumière un faisceau d'indices et de preuves qui accablent le congolais d'acceptation de cadeaux et de corruption.


Réputé très proche de l'ex-président Ahmad Ahmad, suspendu par la FIFA pour des motifs similaires, le Congolais aurait touché des rétrocommissions dans un contrat d’équipementier jugé surfacturé; qui avait déjà valu à Ahmad Ahmad d’être placé en garde à vue et interrogé par les enquêteurs de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (Oclif), en juin 2019 en France, avant d’être remis en liberté sans poursuite formelle.


La commission aurait déjà établi de nombreux avantages financiers accordés au président par intérim dans le rapport d'audit commandé par la FIFA au cabinet PwC, couvrant la période 2015-2018.


Président de la Fédération congolaise de Football (FECOFA), Constant Omari a occupé plusieurs rôles d’influence au sein de la Confédération Africaine de Football (CAF), en tant que membre du Comité Exécutif et des commissions d’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations de la CAF, du Championnat d’Afrique U-20, des compétitions interclubs et de la gestion du système de licence des club de la CAF.

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