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Denis Sassou N'Guesso, pour un Congo prospère et intégré dans la sous-région



Malgré l'impact de la pandémie du coronavirus, le chef de l'Etat congolais maintient le cap de la modernisation du Congo à travers le développement d'infrastructure. Il poursuit par exemple l'interconnexion du Congo au 05 autres Etats de la CEMAC via la mise en place des projets intégrateurs; et prépare activement la mise en place de la Zone de libre-échange Continentale africaine (ZLECA).


Le nouveau mandat que le chef de l'Etat sortant, Denis Sassou N'Guesso portera inéluctablement encore plus loin son engagement pour un Congo prospère; par un accès toujours renforcé aux infrastructures de base et une meilleure circulation des richesses et des personnes dans la sous-région. Sur ce deuxième volet, le chef de l'Etat compte très bien réduire son impressionnant déficit commercial avec des Etats comme le Brésil ou la Hollande, au profit des producteurs de la CEMAC. Ce qui devrait également lui permettre de maîtrise l'endettement et de soulager les réserves de change de la communauté, afin d'éviter au passage une d'évaluation subite du FCFA.


"La mise en place de la ZLECA constitue une occasion à saisir pour diversifier les exportations, accélérer la croissance et attirer les investissements directs étrangers", soutient Jean-Jacques BOUYA, son ministre des Grands Travaux.



Au sien du gouvernement, on fait tout pour la matérialisation de cette vision du chef de l'Etat. "Dans le contexte congolais, parler de la priorité infrastructurelle, c’est ausculter ces plans et programmes afin d’en tirer la substance nécessaire. Les priorités d’aujourd’hui ne peuvent pas s’établir sans tenir compte des réalisations récentes du Document stratégique de réduction de la pauvreté et du programme de Municipalisation accélérée qui ont doté le pays d’un stock d’infrastructures routières, aéroportuaires, sportives, télé communicationnelles, énergétiques, administratives, utile à son développement.", apprend-on auprès du ministre des Grands travaux.


De nombreux efforts ont été fournis dans le sens de l'interconnexion avec la CEMAC. Certains pays voisins ont été connectés au Congo, d’autres sont en cours de l’être, d’autres projets, encore, sont en attente de financement.


12 projets d’envergure de la communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) et de la CEMAC ont été retenus dans cette dynamique avec l’appui de la Banque africaine de développement (BAD). Il s’agit du projet de construction du Pont route-rail entre Brazzaville et Kinshasa ; du barrage hydroélectrique de Chollet à la frontière avec le Cameroun ; du corridor 13 reliant Ouesso (Congo) à Mbaikoro (Tchad) en passant par Bangui (RCA) ; des projets de navigation sur le Fleuve Congo et ses affluents l’Oubangui et la Sangha sur plus de 12.000 km ; du projet de route Dolisie Ndéndé reliant l’Ouest du Congo à l’Ouest du Gabon ; du projet régional de fibre optique ainsi que du projet de construction du Chemin de fer Afrique Australe – Afrique centrale reliant Mombasa-Nairobi –Kisangani-Bangui – Brazzaville – Pointe Noire.


"Notre pays prend une part rationnelle dans les projets intégrateurs de réseaux électriques, des infrastructures de transport, des échanges commerciaux dans la diversification économique et du capital humain", martèle Jean-Jacques Bouya.

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