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Ces Africains éliminés pour avoir trouvé un remède


Pour avoir trouvé de remède à certaines maladies, certains africains en ont payé au prix de leur vie. Éliminés ou disparus, plusieurs sont-ils dans cette longue liste à vouloir tirer l’Afrique de la main des virus.


Des Africains, qui par leur génie et en dépit de leur pauvreté, ont voulu “sauver” l’Afrique en ont payé un lourd tribut, rapporte FM.


1- Le dernier à être éliminé le 16 septembre 2019, était le Docteur Dieudonné Manenga, qui a découvert un remède révolutionnaire pour soigner le paludisme. Son audace mettant en danger les intérêts, des firmes pharmaceutiques occidentales, il est tué dans son pays (RDC) par ses frères congolais.


2- Avant lui, au Ghana et au Honduras (Amérique centrale), Nanan Koffi Drobo II et le docteur Sebi, dépourvus de formation académique, ont découvert un remède pour traiter le VIH/SIDA. Ils ont été également tués par leurs compatriotes.


3- En Colombie, le docteur Patarroyo, qui a mis en place le premier vaccin contre le paludisme est écarté par des mains obscures à travers l’OMS.


4- En Côte d’Ivoire, au moment où le VIH/SIDA sévissait dans les années 90 le professeur Tahiri Zagré-Boigny, un génie formé aux États-Unis d’Amérique, universitaire de renom, Nanan Mian Ehui (ancien instituteur) et Britto Daniel de manière différente ont travaillé et découvert des remèdes pour faire disparaître la maladie. Par la suite, des médecins ivoiriens ont été missionné pour conduire une compagne de diabolisation de dénigrement et de destruction. Mian Ehui et Britto se sont assagis. Le professeur Tahiri Zagré-Boigny, ancien directeur général de ITIPAT (institut chargé de la recherche et de la transformation de nos produits agricoles en produits industriels) a rendu l’âme dans l’indifférence générale en 2013. Les Africains se préfèrent “esclaves” dit-on.

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