Congo Brazzaville / PIDA : les journalistes devraient utiliser l’intelligence artificielle pour plus

L’utilisation de l’intelligence artificielle par les médias pour plus d’impact, était le sujet des échanges de ce deuxième jour de formation des journalistes du PIDA.

Si le journalisme en ligne a bien un avantage, c’est sa réactivité. Les hommes des médias du réseau PIDA, grâce à cet outil, devrait avoir la possibilité de travailler en flux tendu et de traiter l’information dès qu’elle est là. Ainsi, le journalisme en Afrique doit s’adapter en développant de nouvelles techniques, des nouvelles méthodes, de nouveaux regards quant à l’attente des lecteurs.

L’omniprésence des réseaux sociaux devrait influencer le métier de journaliste de façon variée. La presse puise dans la richesse des communautés toujours connectées, toujours réactives. Si Twitter est un outil de partage et de communication, il permet également au journaliste de trouver des informations puisque celles-ci sont souvent plus directes, plus locales et plus rapides que n’importe quel journaliste sur le terrain. Et alors que les réseaux sociaux jouent un rôle multiforme dans le partage et la création de contenus, la personnalité en ligne des journalistes gagne en importance. Comptes Twitter, blogs, Instagram, Facebook, WhatsApp… Il suffit juste de partager le lien de l’article rédigé sur ces réseaux. En forgeant leur présence sur Internet, leurs informations auront plus d’impact et toucheront le plus de monde. Les journalistes devraient également être plus proche de leur public ceci en mettant sur pieds un algorithme qui répond à leurs questions, leurs préoccupations. L’objectif est d’avoir un retour sur comment les informations sont consommées.

Grâce aux nouvelles technologies, le journaliste virtuel est aussi important que sur le papier puisque de nos jours, l’accès à internet n’est plus limité et on y a accès depuis les ordinateurs mais également par téléphone portable ce qui est un avantage considérable : ils visent un plus large public.